C'est avec joie que nous vous présentons Cuisine et dépendances. Dès le début, nous avons fait un choix artistique : celui de reproduire l’œuvre originale et de ne pas adapter la pièce pour le Québec. Nous avons donc conservé toute la coloration des textes d’Agnès Jaoui et de Jean-Pierre Bacri ainsi que l’atmosphère parisienne. Cuisine et dépendances traite de l'amitié et des apparences. Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui disent eux-mêmes que cette œuvre leur a permis de se «défouler, de rire des comportements qui nous énervent, des gens qui perdent tout sens critique face à un monde de toc dont ils se font immédiatement les sujets». La Balustrade du Monument National est une petite salle chaleureuse. Dès que les lumières s’éteignent et que les projecteurs éclairent la scène, les spectateurs ont le sentiment d’être dans cette cuisine qui leur fait face, parmi les personnages qui sont à quelques pas d’eux. C’est donc à une expérience intime, drôle et touchante, que nous vous convions. Nous espérons qu’elle vous plaira. |
Les productions du losange |
Synopsis Jacques et sa femme, Martine, donnent un dîner en l’honneur d’une célébrité et ils ont la tête ailleurs. Ils n’ont pas le temps de se poser les questions capitales. Fred, le frère de Martine, ne voit pas l’intérêt de s’en poser. Georges, l’ami de longue date de Jacques, s’en pose à tout bout de champ, à l’endroit et à l’envers, et ça n’avance à rien. Marilyn, la petite amie de Fred, ne savait même pas que ça existait des questions pareilles. Il y a pourtant une question que chacun se pose : « Qui est-il cet invité célèbre »? Une future relation, un ancien ami, un possible amant, un ex-mari, ou un imbécile de passage? Au salon, où la fête se donne, vous pourriez trouver quelques réponses faciles… Mais c’est dans la cuisine que la pièce se joue. |
Agnès Jaoui et Jean-PIerre Bacri |